Le Tour de France 2017 s'est terminé dimanche avec la première victoire sur les Champs Élysées de Dylan Groenewegen et surtout avec le quatrième sacre de Chris Froome.  Un Tour intense, rapide et serré, marqué par de nombreux abandons qui ont sans aucun doute influencé la course réelle, mais encore plus le Fantatour. Un Fantatour qui s'est conclu avec le sacre annoncé de la team Dynamo Cyclo devant Tartagueule et Copacobana.

Quelques réflexions au terme des trois semaines les plus importantes de l'été.

Du suspens oui, du spectacle bof

On ne va pas cracher dans la soupe, cette édition du Tour de France a été agréable à suivre. Surtout par rapport aux dernières années où le Tour était plus ou moins plié après le premier contre-la-montre et la première arrivée en montagne. Cette année, les écarts sont restés serrés et le suspens était grand. Il est rare qu'il y ait quatre, voir cinq coureurs dans la même minute à quelques jours de l'arrivée à Paris. Le point culminant de ce suspens a évidemment été l'entrée de Romain Bardet dans le vélodrome de Marseille où le chouchou local a réussi à défendre sa place sur le podium pour une seconde. Mais si on réfléchit au spectacle réellement offert dans les étapes reines de ce Tour, on ne peut qu'être un brin déçu. Pour preuve: à part le sprint final à Peyragudes où Froome a perdu quelques secondes dans les 300 derniers mètres, les trois premiers du classement général, à savoir Froome, Uran et Bardet, sont arrivés ensemble dans toutes les étapes de montagne, ce qui prouve l'absence de réelle bagarre entre les premiers du général. L'étape de Foix était intéressante car elle a failli relancer le Tour, mais au final, elle n'a bénéficié qu'à Mikel Landa. En fin de compte, Froome remporte son quatrième Tour grâce au secondes gagnées lors des deux petits contre-la-montre. C'est un fait.

Lors des deux premières semaines, on pensait que Fabio Aru pouvait briser la suprématie des Sky grâce à son punch en montagne, mais le Sarde s'est lentement éteint en troisième semaine. Romain Bardet et les AG2R ont fait ce qu'ils pouvaient, mais leurs attaques étaient indolores, peut-être aussi parce que trop prévisibles. Quant à Rigoberto Uran il a fait une démonstration de maître pendant trois semaines sur la signification du terme "sucer les roues". Le seul qui a vraiment essayé d'attaquer comme il se doit, c'est Dan Martin, même si sa générosité a rarement été payante.

  Pourtant, les conditions pour un Tour légendaire étaient toutes réunies. On regrettera dès lors encore plus la chute et l'abandon de Richie Porte, ainsi que l'absence d'une paire Quintana-Valverde opérationnelle. Avec ses trois là, les choses auraient pu être bien différentes.

"Richie la loose"

Justement, si Quintana a raté son pari, il a déjà deux grands tours et plusieurs podiums à son palmarès et nulle ne doute qu'on le reverra batailler pour la gagne dès l'année prochaine. Par contre, Richie Porte a probablement raté l'occasion de sa vie. Il était l'homme en forme depuis le début de l'année. Il avait "mangé" Froome lors de la dernière étape du Dauphiné, ce qui lui avait presque donné un avantage psychologique sur son ancien leader. Froome était prenable cette année. Porte le savait. Mais le Tour avait mal commencé pour le leader de la BMC, avec cette pluie à Düsseldorf qui l'avait paralysé et lui avait fait perdre du temps alors qu'il était censé en gagner. Et puis cette chute lors de la neuvième étape à cause d'une courbe trop mal négociée. On savait que les étapes avec des arrivées en descente pouvaient le mettre en difficulté. Ça a été le cas, c'est le moindre qu'on puisse dire. La question est de savoir comment va réagir Porte dans les prochains mois. Saura-t-il se relever et revenir avec plus d'ambition?  Ou tombera-t-il dans la dépression de celui qui sait qu'il a raté la chance de sa vie.

Le doublé Giro-Tour ?  Pas pour tout le monde...

Les derniers coureurs à avoir tenté de remporter le tour d'Italie et de France la même année ont échoué dans leur quête. En 2015, Contador avait remporté le Giro, mais, trop fatigué, il ne put faire mieux qu'une cinquième place au Tour.  Cette année, Quintana a fait moins bien que le Pistolero, puisqu'il n'a pas gagné le Giro et termine le Tour en 12ème position, à plus de 15 minutes du vainqueur. L'exploit semble donc très difficile à réaliser. Sans parler des coureurs comme Rolland ou Pinot qui ont réalisé un bon Giro mais qui ont fait un Tour en dessous des attentes, malgré le peu d'ambition qu'ils affichaient au départ.

Pourtant on a envie de croire qu'un coureur Sky aurait ses chances. En effet, après avoir abandonné le Giro à cause d'une chute alors qu'il était chaud-bouillant en deuxième position du général, Geraint Thomas s'est bien remis de ses bobos pour remporter le contre-la-montre la montre initial de Düsseldorf et garder le maillot jaune pendant quelques jours. Il a ensuite abandonné sur chute alors qu'il occupait la deuxième position du général. Chacun sa conception du doublé Giro-Tour... Par contre, Mikel Landa a fait un Giro et un Tour de haut niveau. On a l'impression qu'il aurait pu gagner les deux courses. Evidemment, jouer le classement général n'est pas la même chose que viser les victoires d'étapes et le maillot de la montagne ou faire le lieutenant de luxe, mais Mikel Landa était peut-être le seul à réellement pouvoir battre Chris Froome cette année.

No team, no party

Avoir une bonne équipe à ses côtés est primordial pour un leader. On le savait et on en a eu une nouvelle démonstration. Ironie du sort, c'est celui qui avait remporté la Vuelta 2015 grâce à son équipe face à un Dumoulin démuni, qui en a fait les frais sur ce Tour. En effet, après les abandons de Cataldo et Fuglsang, Fabio Aru s'est retrouvé sans réels équipiers capables de le placer et de le protéger en montagne mais aussi  dans les étapes de plaine et dans leur final. Valgren ou Lutsenko sont des bons coureurs, mais ils n'ont jamais aidé personne et n'ont sûrement pas l'expérience de gregarios d'un Tiralongo, d'un Agnoli ou d'un Knees. Le Sarde a dû se débrouiller seul pendant une semaine et a payé ses efforts dans les dernières étapes de montagne. Au début de la saison, on avait remarqué qu'Astana avait perdu sa puissance de frappe avec le départ du clan Nibali ou d'un coureur comme Diego Rosa. Le décès de Michele Scarponi et les abandons de Cataldo et Fuglsang ont fait le reste. On pourrait faire remarquer que Rigoberto Uran n'a pas vraiment eu plus d'aide de la part de son équipe. Mais s'il est vrai que des coureurs comme Talansky ou Rolland auraient pu mieux accompagner Uran en montagne, le Colombien a pu bénéficier d'une équipe au complet avec des coureurs d'experience ou de classiques comme Clarke, Van Baarle, Phinney ou Bettiol très utiles dans les étapes de plaine. Quant aux AG2R, leur tactique et leur approche à la course a fait couler beaucoup d'encre. Ils ont d'une manière ou d'une autre essayé de dynamiter la course et on ne peut pas leur reprocher un manque d'initiative. Mais l'équipe de Bardet reste simplement un cran en dessous d'une armada comme celle des Sky. L'image vue dans les premiers lacets de l'Izoard était significative: pendant que les AG2R étaient à bloc pour faire un rythme censé mettre en difficulté le maillot jaune, ce dernier était entouré de quatre équipiers qui se partageaient tranquillement le contenu d'une musette comme si on était dans une zone de ravitaillement de début de course et pas dans les 10 kilomètres les plus importants du Tour. Après le pic-nic, les AG2R étaient cramés et les Sky ont repris les choses en main, tout simplement.

Le sacre de Dynamo Cyclo

Le Fantatour 2017 a fortement été marqué par les abandons et exclusions de coureurs sur lesquels les fantamanagers comptaient énormément, en particulier Sagan et Porte. Comme beaucoup d'autres, Dynamo Cyclo avait eu la bonne intuition de séparer les deux grands favoris pour le général et les deux sprinters avec le plus de potentiel. Froome et Kittel d'un côté, Porte et Sagan de l'autre. Encore fallait-il avoir cette combinaison et pas une autre qui aurait mis un des deux mauvais plans dans chacune des deux teams. Pour ceux qui avaient fait ce choix, le Fantatour s'est terminé après une semaine.

Dans un premier temps, on pensait que le Fantatour allait se jouer entre Tartagueule, Tormenta et Déjà vu Again, les seules formations à avoir misé sur le quatuor Froome-Aru-Kittel-Quintana. Mais les défaillances répétées d'El Colibri ont changé la donne et la cote de Dynamo Cyclo est montée en puissance dès que Mikel Landa s'est invité dans la lutte pour le podium. La clef du Fantatour a effectivement été le Basque de Sky. Peu de monde a osé prendre deux Sky dans son équipe et parier sur Landa était audacieux. Mais Ottim'hotel a visiblement suivi une logique cohérente puisqu'il a aussi pris Mikel Nieve dans sa deuxième team. Il savait que miser sur un deuxième Sky pouvait rapporter gros. Ottim'Hotel remporte ainsi sa première grande victoire fantacycliste. Une belle récompense pour un fidèle joueur de la première heure qui avait frôlé la victoire lors du Giro 2014 et qui connaît enfin son jour de gloire. Et on ne gâcher pas son plaisir en mentionnant les 27 millions dépensés pour Talansky et les 10 millions pour Sütterling...

Cela montre en tous les cas qu'il y avait largement moyen d'avoir une équipe competitive dans ce Fantatour. Sur les 268 inscrits très peux avaient tenté des formations originales, combinant Froome avec des Bardet, des Yates, des Dan Martin, sans compter Uran ou Barguil qui étaient des choix moins évidents. Une simple combinaison Froome-Bardet-Aru-Kittel (ou Yates) et on remportait le Fantatour haut la main.. Plus facile à dire qu'à faire évidemment, surtout sans savoir que Sagan et Porte allaient être hors service après quelques étapes. Finalement, cette situation a permis à plusieurs Fantateams ayant fait une erreur de casting de rester dans la course jusqu'au bout. Comme Tartagueule qui prend la deuxième place malgré le mauvais plan Quintana. La team de Lord Lannister a fait la différence grâce aux bons choix des coureurs low-costs comme Nathan Brown, Betancur ou Wyss. Une belle performance pour le Lord, mais il ne lui reste plus que deux saisons pour s'assoir enfin sur le trône fantacycliste.

Le sprint final pour la troisième place a quant à lui été très serré. On pensait que la Team 23 pouvait défendre sa place sur le podium,  malgré sa combinaison Froome, Aru, Kittel et... Sagan. Mais Copacobana est revenu du diable vauvert pour la coiffer sur le fil, tout en résistant au retour en force de la Team Sunweb B2H. Une médaille de bronze sommes toutes méritée puisqu'on se souvient que Copacobana avait pris un départ canon lors du prologue grâce à la paire Thomas-Froome. Avec les points de Aru, Meintjes et Latour en plus, le brésilien du Fantapeloton peut à nouveau sourir. Mais quand même, sans cette chute de Thomas...

La Team Sunweb B2H peut nourrir encore plus de regrets. Elle avait flairé les bons coups de Landa, Thomas et Barguil. Elle avait cru en Froome et Sagan, mais l'abandon de ce dernier lui a coûté très cher et sa cinquième place finale ne reflète pas tout à fait la pertinence de ses choix. La formation de x mérite sans aucub doute le prix du jury...

Les bons plans du Fantatour

A part les leaders qui ont abandonné et la paire Quintana-Contador, la plupart des favoris pour le top-10 du général ont rempli leur contrat. Froome est évidemment hors catégorie avec 3253 points, mais Aru, Bardet, Uran, Martin ou Yates ont tous dépassé la barre des mille points et ont été des investissements reussis pour les fantamanagers. Parmi les sprinters, Kittel a fait le cannibale de service tant qu'il était en course et malgré son abandon, il a rapporté 1479 points, un record pour l'Allemand. Michael Matthews n'a pas fait plus, mais il s'en est rapproché avec son maillot vert. Personne n'aurait cru que le roi Sagan pouvait perdre sa couronne verte, mais s'il y avait un coureur qui avait le profil parfait du vice-roi, c'était bien Matthews.

Mais le vrai bon plan du Fantatour 2017, c'est évidemment Warren Barguil. Beaucoup de coureurs sont venus sur le Tour pour jouer uniquement les victoires d'étape, mais il n'y en a que un qui a réussi à rapporter gros au Fantatour. Deux victoires et une deuxième place dans les trois étapes les plus difficiles du Tour. Un maillot à pois endossé dès la neuvième étape et une dixième place au classement général. Plus de 1300 points pour 19 fantamillions!  L'investissement parfait et le prix du meilleur coefficient en prime. Pourtant, la réussite de Barguil était loin d'être prévisible. En début d'année, certains lui prédisaient un avenir à la Romain Sicard, comme lui, un ancien vainqueur du Tour de l'Avenir, incapable de confimer son potentiel parmi les pros. Son Dauphiné anonyme ne lui avait pas donné plus de crédit, mais Barguil se remettait alors d'une blessure, ce qui lui a finalement permis d'être dans son pic de forme au meilleur moment. Aujourd'hui, on voit en lui un futur vainqueur du Tour... Le pauvre, il avait enfin réussi à se libérer de la pression qui lui pesait sur les épaules depuis quatre ans, et voilà qu'elle lui retombe dessus de plus belle. Et pour l'instant, l'équation avec les variables "Français", "Pression" et "Mauvais en contre-la-montre" n'a jamais débouché sur une victoire dans un grand tour. Certains de ses compatriotes de la même génération, tout aussi bons grimpeurs que lui, peuvent en témoigner.

Parmi les autres bons plans pas trop chers, citons évidemment Mikel Landa, mais aussi Stefan Kung , Maciej Bodnar ou Vasil Kiryenka. Sinon, tous les autres coureurs qui ont rapporté plus de 150 points coûtaient plus de 30 fantamillions. Dur dur le Fantatour...

Les mauvais plans du Fantatour

Des mauvais plans, il y en a eu pas mal aussi, et pas des moindres. Les malchanceux Valverde, Izaguirre, Majka, Fuglsang et Porte; les leaders hors forme ou trop vieux comme Quintana, Talansky ou Contador; l'exclu Peter Sagan; les chasseurs d'étapes rentrés brocouille Pinot, Rolland, Swift ou Colbrelli. Mais la palme du plus mauvais plan du Fantatour revient à Esteban Chaves. Après un début d'année difficile, on savait que le Colombien n'avait pas les moyens de lutter avec les meilleurs, mais il aurait pu monter en puissance sur les trois semaines et éventuellement tenter de remporter une étape. Il a essayé de rentrer dans une échappée une seule fois, il était un des premiers lâchés... Au final, son butin reste vierge pour un prix de 40 fantamillions. Comme quoi, un Tour de France ne s'improvise pas, même quand on est un des meilleurs grimpeurs du peloton.

Des coureurs low-costs décevants

Avec des prix aussi élevés et un grand nombre de leaders à prendre, la plupart des fantamanagers ont dû compléter leur teams avec plusieurs coureurs à un, deux ou trois millions. Mais peu d'entre eux ont rapporté des points. En fait, il n'y en a que deux qui ont vraiment donné satisfaction à leur mentors: Nathan Brown et Ellie Gesbert. Le baroudeur de Cannondale a été le grimpeur des étapes de plaine de la première semaine, un titre symbolique qui a beaucoup d'importance au fantacycling. Avec 70 points, l'Americain ne remporte cependant pas le prix du meilleur coefficient qui revient à Barguil pour un demi boyau. Ellie Gesbert a quant à lui été le seul baroudeur low-cost à s'offrir un prix du combatif et un top-10 dans une des rares étape où l'échappée matinale est allée au bout. Pour le plus jeune coureur de ce Tour, l'exploit est de taille et Gesbert est sans aucun doute un coureur à suivre. A part quelques semi-sprinters qui sont allés chercher des places dans le top-15 comme Bozic, Boudat, Cimolai ou Van Speylbriucks, la plupart des autres coureurs low-cost n'ont presque rien rapporté. Kiserlovski, Politt et Voeckler ont tenté presque tous les jours d'entrer dans le bon coup, mais ils étaient simplement trop courts pour aller au bout. Ti-Blanc n'a même pas réussi à se faire offrir un dernier prix de la combativité... peut-être un des plus gros échecs de sa carrière...

Mention spéciale aussi Brice Feuillu qui prend la 16ème place du classement  final mais qui n'a rapporté qu'un point... Et pour Carlos Betancur qui termine le Tour à la 18ème place du général. Ça ne rapporte pas grand chose, mais l'exploit est de taille pour Carlitos. Assez pour avoir un rôle de leader sur la Vuelta ?  Ce serait le come-back de l'année.

La team idéale

Pour les amateurs de statistiques, on notera que la team parfaite de ce Fantatour aurait rapporté 10 212 points et était composée des coureurs suivants :

Chris Froome - 56 fantamillions - 3253 points

Rigoberto Uran - 33 fantamillions - 1842 points

Fabio Aru - 37 fantamillions - 1796 points

Romain Bardet - 50 fantamillions - 1771 points

Warren Barguil - 19 fantamillions - 1376 points

Nathan Brown - 1 fantamillion - 70 points

Ellie Gesbert - 1 fantamillion - 56 points

Borut Bozic - 1 fantamillion - 35 points

Carlos Betancur - 1 fantamillion - 18 points

Comments

Excellentes conclusions, c'est limpide, comme d'hab'. Par contre, "... mais il ne lui reste plus que deux saisons pour s'assoir enfin sur le trône fantacycliste."... Non, ne me dites pas que...

Conclusion passionnante. Mais comme Our Franck, je m'interroge sur cette phrase: Il ne lui reste plus que deux saisons pour s'assoir...Un trip colombien au cours duquel tu aurais vu l'avenir. Dans trois ans, je ne serai donc plus de ce monde ? Lucifer a encore frappé...

dommage que la dernière étape vous ne lui faites pas de podium..
faudrait faire les points pour la dernière étape et ensuite le bonus pour les classements généraux...
franchement les trois equipes qui ont cru en dylan ont droit à leur podium sur les champs-élysées
salut et merci à l'equipe fantacycling...no vemos en la vuelta!

pensez-y

Oui dirk tu as raison et on y a pensé... ya plus quà le faire... sera pour la prochaine fois :-)
Sinon belle conclusion lucho, ca semble couler de source... pour le "plus que 2saisons"... que va-t-il arriver au Lord? Enfin merci à l'oreillette qui une fois encore m'a bien fait rire et bluffé par ses jeux de mots improbables :)

Beau résumé.
Merci encore pour ce tour de haute volée :)1
3e avec Chaves dans l'équipe Buckler, ça mérite un bonus non? haha
Le nombre de participants explose de plus en plus, le bouche à oreille porte ses fruits, et c'est mérité! Les maillots vont être de plus en plus difficiles à décrocher...
Bon repos à tous et rdv sur la Vuelta

Je ne suis pas un spécialiste mais j'ai cru comprendre qu'il ne manquait plus que deux saisons à la série Game of Thrones... Lord Lannister - Game of thrones - deux saisons -le trône... j'avoue je me suis peut-être un peu écarté de l'essentiel...

Bravo Otimm'Hotel, la patience et l'abnégation finissent souvent par payer. Merci Lucho pour la longue et intéressante lecture du jour - mais venons-en à l'essentiel: les valeurs de la FantaVuelta ne sont pas encore disponibles, c'est proprement scandaleux... :-)

merci l'equipe Fantatour, le jeu est passionnant et les analyses quotidiennes valent le coup... et d'accord avec dirkanya, il faudrait faire les points pour la derniere etape... surtout que si mes comptes sont bons, j'ai du gagner la derniere etape sur le giro et sur le tour cette annee:-) la faute a ces satanes coureurs hollandais qui pourraient gagner des etapes un peu plus tot

Bon, c'est entendu, l'Oreillette est plutôt footeuse et n'y connaît pas grand-chose au cyclisme (juste de quoi gagner un fantagiro, pas plus), ce qui lui autorise d'ailleurs la naïveté, le n'importe quoi et le décalage avec les billets des vrais connaisseurs chroniqueurs de fantacycling (qui n'en sont pas moins drôles d'ailleurs, j'ai adoré le texte sur la Warren Barguil Experience par exemple). Mais quant on lui explique le vélo via le football, là , l'Oreillette comprend tout. Merci So Foot: http://www.sofoot.com/si-les-equipes-du-tour-2017-etaient-des-equipes-d…