La course sur route des Jeux Olympiques a lieux tous les quatre ans. C’est un des évènements les plus rare et donc attendu du calendrier cycliste et on ne pouvait pas rater l’occasion d’organiser un FantaOlympics pour profiter encore plus de l’évènement. La course olympique est une course spéciale, encore plus que les championnats du monde. Pas d’oreillettes; une peloton réduit à 100 coureurs, dont une partie composée de coureurs venus pour participer plus que pour gagner; des équipes avec maximum quatre coureurs, donc sans possibilité de cadenasser une course qui à Paris fera 272 kilomètres; et surtout, contrairement à la plupart des autres courses cycliste, un réel intérêt pour la deuxième et troisième place offrant une médaille olympique. Tout cela rend cette course très intéressante, imprévisible et plus ouverte que toutes les autres. Sans compter qu’un certain nombre d’interrogations s’imposent. Quel sera le rapport de force entre les coureurs sortant du Tour et ceux qui n’ont pas couru depuis plusieurs semaines ou qui ont suivi un calendrier de préparation plus léger? Quel est le degré de difficulté du parcours parisien ? Plutôt type Glasgow ou plus facile ? Cette fois, on ne pourra pas analyser la course des jeunes ou des femmes pour se faire une idée, puisque la compétition féminine aura lieu le jour après.

Le concours du FantaOlympics se base sur le modèle du FantaMundial: un one-shot, 200 fantamillions pour composer une équipe de 9 coureurs avec le vainqueur qui pourra se targuer d’être le fanta-champion-olympique pendant quatre ans. N’oubliez pas que la FantaOlympics compte aussi pour la Fantaleague 2024 et que des points précieux sont en jeu.